Pour la fin

Le caractère authentique de la vie de tous les jours au sanctuaire Inari : les anciennes habitations sont peu pratiques. Restez aimable envers les restaurateurs qui travaillent pour les religieux. Leurs conditions de vie sont très différentes de celles de la vie moderne.

Je vais vous représenter la vie quotidienne telle qu'elle se passe vraiment sur cette montagne.

A la fin de l’année, les restaurateurs et les boutiques remplissent leurs stocks de bougies pour le nouvel an. Les escaliers sont en pierre. Leur largeur fait un mètre environ. Aucune voiture ne peut y circuler, bien sûr. Les chariots non plus. C'est pourquoi il faut un spécialiste des livraisons.

C'est une personne d'un certain âge, mais vous n'imaginerez jamais comment il les livre en vérité. Celui-ci porte une tige d’un mètre de long sur l’épaule, à laquelle sont suspendues deux grosses charges.

Non seulement il marche ainsi en évitant les toriis, mais en plus il multiplie les aller-retours entre les restaurants et le parking. Le sanctuaire d'Inari constitue une scène historique. Presque tous les volets des restaurants datent des années1930, et bâtiments eux-mêmes sont d'avant-guerre. Les volets sont déformés à cause de l'humidité. Aussi, il est d'usage que les hôtesses les ouvrent tout en faisant du bruit, marquant ainsi le commencement de la journée.

Captivés par ce paysage chargé d'histoire, nous le prenons en photo. Toutefois, gardons à l'esprit que tous ceux qui travaillent sur le site accomplissent une tâche difficile. Si vous étiez à Rome, vous feriez comme les Romains. Alors n'oubliez pas de leur montrer votre respect à ses habitants, s'il vous plaît.

KATO